PARLONS ..... "au nom" de ..... matricule n° 11 925 L
Actualité publiée le 31/10/2017
Un chien ne parle pas …… aussi, l'auteur traduit la détresse ressentie :
" Je n’ai pas de nom, juste un numéro / Je suis né dans une cage, entourée de béton / Maintenant, je vis derrière les barreaux / Sous la blafarde clarté d’une lumière au néon / Je n’arrive plus à me lever, j’ai si mal dans mes os / Les blancs vêtus passent sans même me regarder / Quelque chose coule abondement de mon museau / Ça brûle ! J’ai peur ! Je ne peux plus respirer !
Mon corps est secoué par des spasmes incontrôlés / J’entends le bruit strident d’un chariot métallique / Ma gorge est paralysée, je ne peux plus avaler / Ils s’acharnent encore sur ma carcasse rachitique / La noirceur m’envahit, mes amis n’aboient plus / Je dérive dans les méandres d’un brouillard glacial / Dans cette souffrance, une caresse serait la bienvenue / Mais dans cette forteresse, la solitude est banale / Mon cœur se noie dans une rivière de tristesse / Une odeur nauséabonde flotte autour de moi / Je ne suis plus qu’un amas de puanteur en détresse / Prenez moi dans vos bras, j’ai tellement froid !
Ils continuent à piquer mes pattes déjà mutilées / Pourquoi n’entendent-ils pas mes pleurs / Je n’arrive même plus à manger ma pâtée / Je vais mourir sans avoir eu un instant de bonheur.
La lumière s’est éteinte, je n’aurai plus jamais peur. "
Comme des milliers d’autres chiens, le n° matricule 11 925 L est mort sans jamais avoir vu le jour. Le quotidien de sa misérable vie se résume à la souffrance, entouré d’individus dépourvus de toute empathie.
LES VRAIS COUPABLES NE SONT MALHEUREUSEMENT PAS DERRIERE LES BARREAUX. Pat. DF n°11 925 L est juste coupable d'être un chien
Mon corps est secoué par des spasmes incontrôlés / J’entends le bruit strident d’un chariot métallique / Ma gorge est paralysée, je ne peux plus avaler / Ils s’acharnent encore sur ma carcasse rachitique / La noirceur m’envahit, mes amis n’aboient plus / Je dérive dans les méandres d’un brouillard glacial / Dans cette souffrance, une caresse serait la bienvenue / Mais dans cette forteresse, la solitude est banale / Mon cœur se noie dans une rivière de tristesse / Une odeur nauséabonde flotte autour de moi / Je ne suis plus qu’un amas de puanteur en détresse / Prenez moi dans vos bras, j’ai tellement froid !
Ils continuent à piquer mes pattes déjà mutilées / Pourquoi n’entendent-ils pas mes pleurs / Je n’arrive même plus à manger ma pâtée / Je vais mourir sans avoir eu un instant de bonheur.
La lumière s’est éteinte, je n’aurai plus jamais peur. "
Comme des milliers d’autres chiens, le n° matricule 11 925 L est mort sans jamais avoir vu le jour. Le quotidien de sa misérable vie se résume à la souffrance, entouré d’individus dépourvus de toute empathie.
LES VRAIS COUPABLES NE SONT MALHEUREUSEMENT PAS DERRIERE LES BARREAUX. Pat. DF n°11 925 L est juste coupable d'être un chien
Brisons l’omerta, Parlons haut et fort en leur nom.
Boycottons l’expérimentation animale.
Les animaux ne sont pas des éprouvettes sur quatre pattes.
Boycottons l’expérimentation animale.
Les animaux ne sont pas des éprouvettes sur quatre pattes.
Pensez-vous que les animaux ressentent la souffrance, la tristesse, la peur, la solitude ?
La réponse est OUI, les animaux sont des êtres sensibles.
Les histoires poignantes relatant des chiens ou des chats se laissant mourir d’ennuis et de chagrin sur la tombe de leur maître ne sont pas une fiction, c’est la réalité.
Cependant, certains chercheurs utilisent ces pauvres bêtes pour des expériences scientifiques, alors qu’il est démontré qu’aucun animal n’est un modèle biologique pour l’homme. Chaque euro versé à la recherche animale représente un euro de moins pour développer ou pour perfectionner les méthodes pour remplacer les tests sur animaux.
Est-il encore acceptable de se donner bonne conscience en collectant des fonds qui vont subventionner la souffrance animale au nom de la recherche médicale ?
Ne vous laissez pas impressionner par un business savamment orchestré par une hypermédiatisation.
Récemment, une association a tenté de museler une pétition révélant des vérités apparemment dérangeantes. Nous ne sommes pas dupes, les prises de consciences concernant ces abominations sont en nettes augmentations.
Nous ne sommes pas tous des scientifiques, mais une chose est certaine, c’est que nous sommes capables de reconnaître un animal qui souffre, et nous, amis des animaux, nous disons ASSEZ STOP
L’expérimentation animale est également remise sur la sellette par une part grandissante des chercheurs eux-mêmes. C’est la raison pour laquelle le comité scientifique de l’association Antidote Europe exige la création d’une Commission d’enquête parlementaire pour débattre de ce sujet de façon approfondie.
La réponse est OUI, les animaux sont des êtres sensibles.
Les histoires poignantes relatant des chiens ou des chats se laissant mourir d’ennuis et de chagrin sur la tombe de leur maître ne sont pas une fiction, c’est la réalité.
Cependant, certains chercheurs utilisent ces pauvres bêtes pour des expériences scientifiques, alors qu’il est démontré qu’aucun animal n’est un modèle biologique pour l’homme. Chaque euro versé à la recherche animale représente un euro de moins pour développer ou pour perfectionner les méthodes pour remplacer les tests sur animaux.
Est-il encore acceptable de se donner bonne conscience en collectant des fonds qui vont subventionner la souffrance animale au nom de la recherche médicale ?
Ne vous laissez pas impressionner par un business savamment orchestré par une hypermédiatisation.
Récemment, une association a tenté de museler une pétition révélant des vérités apparemment dérangeantes. Nous ne sommes pas dupes, les prises de consciences concernant ces abominations sont en nettes augmentations.
Nous ne sommes pas tous des scientifiques, mais une chose est certaine, c’est que nous sommes capables de reconnaître un animal qui souffre, et nous, amis des animaux, nous disons ASSEZ STOP
L’expérimentation animale est également remise sur la sellette par une part grandissante des chercheurs eux-mêmes. C’est la raison pour laquelle le comité scientifique de l’association Antidote Europe exige la création d’une Commission d’enquête parlementaire pour débattre de ce sujet de façon approfondie.